L’été orage,
fait le ciel cirage
dans les lampions
de la fête de la nation.

L’été polisson
bat sa moisson,
et dans la paille roucoule,
avant de se mettre en boule.

L’été toujours,
meurt d’amour,
dans les rencontres furtives
des vacances fugitives.

L’été photographié,
volé,s’étale
dans les pages glacées
de la presse à scandales.

 

CM

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