Plus oecuménique tu meurs

J’ai voulu transcrire le genre de fantaisie transgressive dans laquelle je me complais parfois en devisant avec mes proches, en un joyeux jeu d’auto-tamponneuses de l’esprit. Les gloussements sont un accompagnement habituel et nécessaire. Venant de terminer l’exercice, je crains que le mot écrit ne pèse plus lourdement que le verbe. Je laisse le texte sur le blog, pour voir les réactions, dont la mienne.

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